PRODUIT & HISTOIRE

Depuis le début de l’histoire japonaise
Créer du cuir qui marche avec la vie, les traditions et la culture japonaises

・Kumano Kodo est la plus ancienne route de pèlerinage du Japon. Découvrant que la culture du cuir des cerfs et des sangliers japonais était aussi avec cette histoire la plus ancienne, il a établi une marque de cuir avec la proposition   « Yata crow », qui est ce dieu.

・On dit que c’est un animal qui détruit les forêts de montagne, mais dans sa nature, la viande riche en minéraux est devenue largement consommée comme nourriture. Cependant, la peau est jetée et non utilisée. Aling le vieillissement du village de montagne a rendu son utilisation encore plus difficile, nous Origin a réussi à montrer, revivre et en utilisant la valeur de ce cuir de l’histoire japonaise et la valeur culturelle.

・Les cerfs de Sika n’étaient pas seulement un matériau important de l’histoire et de la culture anciennes uniques du Japon, mais ils utilisent aussi avec soin le cuir, une espèce endémique du Japon et une espèce qui n’existe pas en dehors du Japon.

・Systèmes qui utilisent les peaux de cerfs et de sangliers japonais perdus, la construction de structures comme une industrie, la qualité stable et la peau, et la construction de l’artisanat et le flux de distribution qui font du cuir des matériaux japonais qui peuvent être utilisés avec soin par les Japonais dans le passé et les japonais d’aujourd’hui avec l’eau japonaise et la technologie.

 ・Il s’agit d’un grand projet visant à raviver la culture du cuir perdu au Japon et à accroître la reconnaissance mondiale de sa valeur historique, et à chérir toute vie et à utiliser la peau oubliée et écartée de l’histoire et de la valeur.

<Vieille histoire>

Cerfs et sangliers japonais élevés par les montagnes naturelles profondes de la préfecture de Wakayama, qui détiennent les Trois Montagnes de Kumano.
Il a été un matériau qui soutient l’histoire et la culture du peuple noble du Japon depuis les années anciennes.
Le cuir est également stocké à Shosoin, le plus ancien entrepôt du Japon, et les cerfs sont toujours appréciés comme dieux dans la capitale Nara, où se trouvait la capitale.
Dans l’histoire qui a suivi, les nobles et les samouraïs aimaient l’utiliser avec soin, et il a été utilisé pour la culture traditionnelle comme kemari no mari, armure, épées, etc depuis les temps anciens. Le cuir est vraiment le discours de l’histoire. Le cuir a soutenu la fondation de la culture japonaise antique.

<Actuelle>

Les animaux traversent librement les montagnes sauvages. Cependant, il a beaucoup changé par l’équilibre écosystémique de la forêt a été perdu en raison de la diminution de la personne.
J’ai mangé la montagne et je me suis couché pour apparaître juste à côté du village.
Le dépeuplement moderne et le vieillissement tentent d’éclairer la culture pendant que le chasseur au Japon filait l’histoire tout en chassant, mangeant et en prenant la vie avec soin.
La viande de cerfs sauvages et de sangliers a été remarquée ces dernières années et a été consommée avec soin.
Cependant, toute la peau avait été jetée. Parce que le nombre de personnes qui connaissent la valeur a diminué, et parce que la peau n’a pas été utilisée depuis de nombreuses années s’il n’y a pas de valeur industrielle.
La marque qui a renoué avec sa signification historique et sa valeur est « ORIGIN », une marque qui permet aux gens du monde entier de découvrir le cuir qui est à l’origine de l’histoire japonaise ainsi que la longue histoire de la culture japonaise.
Nakai, le parent né de ce produit, dit.
« Le cuir sauvage n’est pas beau. De tels mots volent autour du monde. Il y a beaucoup de rayures et beaucoup de trous. Nous, les êtres humains, avons vécu et sculpté l’histoire, et tous les témoignages vivants sont gravés sur leur peau. Cerfs et sangliers sont les mêmes. Leur peau, qui a sculpté l’histoire du Japon, est également sombre et modelée, et tous ses modes de vie sont gravés. Il n’y a pas de beau témoignage que les gens et les animaux ont vécu dur.
Il interagit avec les chasseurs, échoue plusieurs fois, n’endommage pas sa peau autant que possible, apprécie la fin de sa vie, met ses mains ensemble, et s’incline profondément à la forêt. »